Homme tenant un microphone

Manager de communauté

Community Manager, l’animateur de communauté

Le Community management

Ce métier est apparu dans les années 2005. Il découle, à l’origine, du travail fastidieux, et souvent bénévole, des modérateurs de forum. Réinventé et intégré par les entreprises, l’objectif essentiel du Community Manager (ou CM) est désormais de rapprocher la marque de ses consommateurs. Pour cela, il crée du contenu digital et interagit avec différentes communautés. De façon générale, il est en contact direct avec son audience.

L’audience se compose de prospects potentiels, de consommateurs et d’ambassadeurs de la marque. Ainsi, le CM (acronyme de Community Manager) a une position idéale qui lui permet de mieux connaître et comprendre ses clients, et donc, le marché dans lequel son entreprise évolue.

Quels sont les missions d’un Community manager ?

Afin de vulgariser ses responsabilités, voilà à quoi ressembleraient les missions d’un CM tout juste embauché, représentant, pour l’exemple, une marque de vêtements:

  • Identifier les communautés: Dans un premier temps, il identifie les communautés qui parlent de sa marque. Si cette marque est encore nouvelle sur le marché et que personne n’en parle encore, il crée cette communauté. Vous serez surpris de voir qu’il y a pléthore d’avis et de discussions sur tous les sujets. On parle sûrement déjà de vous!
  • Rejoindre et animer les communautés: Une fois identifiées, il rejoint ces communautés et les anime. À ce moment-là, il faut redoubler de créativité et d’empathie, car il doit passer du statut de nouveau membre à point de contact fiable et référence absolue de cette communauté.
  • Développer la communauté: Il développe et fait évoluer cette communauté, améliorant le rayonnement de la marque en augmentant le nombre d’abonnés. Ainsi, de plus en plus de personnes connaîtront la marque, son image et ses valeurs.
  • Souder la communauté: Il partage des informations exclusives et épaule ses membres, augmentant le taux d’interactions, l’engagement sur les réseaux, et transformant les abonnés virtuels en ambassadeurs actifs dans le monde réel.

Le schéma est simple: plus vous publiez de contenu, plus l’amour pour votre marque grandira et plus vous compterez d’ambassadeurs qui parleront et feront l’éloge de vos produits.

L’importance des données

Grâce à cette immersion dans votre audience, le CM a accès à un flux de données brut, naturel et authentique. Il peut traduire et mettre en forme ces données pour vos collègues, qui n’y ont pas accès. Cette source d’information apporte des retours d’expérience des consommateurs, des éléments de réponse sur l’amélioration de vos produits, et autant de pistes pour des solutions concrètes lors des réunions décisionnelles. Par ailleurs, cela vous permet de rester à l’écoute des signaux faibles pour éviter les bad buzz.

Voilà comment serait découpé, en théorie, le développement et l’animation de communautés d’une marque. Il faut, évidemment, bien choisir les réseaux dans lesquels vous interagissez en fonction de votre client cible (Persona Buyer). Une erreur courante est de vouloir être présent sur tous les réseaux en même temps, ce qui entraîne souvent beaucoup d’efforts pour peu de résultats.

Comment définir votre ligne éditoriale?

Lorsque vous avez choisi vos réseaux, il vous faut définir votre ligne éditoriale:

  • Persona Buyer: En fonction de votre client type, choisissez le ton à employer, la manière, le style d’écriture et l’approche générale de vos communications. Il s’agit de s’adapter à votre cible pour que sa lecture soit facile et agréable.
  • Types d’interactions: Définissez les types d’interactions que vous allez créer avec votre communauté. La pratique vous amènera à modifier certains éléments de la première étape.
  • Émotion: De ces échanges et interactions se dégagera une émotion. Cette émotion restera dans l’esprit de votre audience quand elle pensera à votre marque. C’est l’élément clé de la ligne éditoriale.

Pour cette raison, dans le processus de définition, vous choisissez d’abord l’émotion que vous voulez que votre marque dégage, puis vous en déduisez le style de communication à adopter. L’émotion est souvent liée à votre branding. Ces choix de style de communication, d’interactions et d’émotions constituent la ligne éditoriale. C’est votre “guide de communication” sur les réseaux.

Il vous faudra l’adapter à chacun de vos clients types et au style du réseau où ils sont présents pour optimiser vos communications.

Quel est le profil d’un community manager ?

Qualités fondamentales requises

Les qualités générales requises pour les community managers sont :

  • Curiosité: Suivre les évolutions de comportements sur les réseaux et se les approprier car il faut y devenir acteur.
  • Bon sens: Vous êtes la voix de l’entreprise, malgré le côté “cool” des réseaux. Il ne faut pas froisser le client! Il faut donc savoir s’adapter au comportement de celui-ci, et, plus difficile, à son humour.
  • Connaissance de la ligne éditoriale: Connaitre et maîtriser la ligne éditoriale de l’entreprise et son positionnement sur le marché.

Selon votre entreprise, que vous vendiez un produit ou proposiez des services, vous n’aurez pas besoin du même type de profil de Community Manager. Il vous faut d’abord définir votre stratégie de communication, déterminer les critères à contrôler (impressions, engagement, conversion…) et les faire évoluer en fonction de vos objectifs mensuels.

Types de profils reconnus

On peut identifier 7 profils de CM différents avec leurs qualités spécifiques:

  • Le créateur de contenus: Se focalise sur la création de contenus pour se positionner sur les questions que se posent les internautes. Par des articles de blog, des landing pages, ou des vidéos, il attire les utilisateurs des moteurs de recherche. Penchants: Copywriting, créativité, autonomie sur les outils de création visuelle.
  • Le statisticien: Analyse les résultats des campagnes et contenus pour affiner et améliorer ce qui fonctionne. Vertus: Analyse de données, expérimentation scientifique, pédagogie.
  • Le SAV: Représente vos services et votre marque sur les réseaux. Répond rapidement aux commentaires, questions, et messages. Dons: Communication, patience, empathie.
  • Le newsjacker: Reste à l’affût des nouvelles et tendances pour partager des informations pertinentes avec votre communauté. Mérites: Addict à l’information, bon jugement.
  • L’animateur de communautés: Se positionne sur les plateformes d’échange pour répondre aux problèmes particuliers et créer du contenu sur les problématiques récurrentes. Aptitudes: Connaissances techniques, pédagogie.
  • Le webmarketer: Optimise la configuration des pages et la navigation des visiteurs pour augmenter le taux de conversion. Caractéristiques: Connaissance théorique du marketing, maîtrise du processus du funnel marketing.
  • Le social media manager: Responsable de l’équipe des CM, il pilote le plan média global et coordonne les projets sur toutes les plateformes. Propensions: Prise de décision, communication, négociation.

Besoin d’un Community Manager? Contactez nous !

Cliquez sur les textes ci-dessus pour nous contacter
par mail ou par téléphone !

Figurine représentant un astronaute miniature en plastique sur un fond bleu avec des nuages blancs.

BAD BUZZ ENTREPRISE

3 SORTIES FACE AU BAD BUZZ !

BAD BUZZ. La terreur de tous les community managers à l’heure de l’ère digitale… Quels sont les grands principes à garder en tête lors de ce type d’urgence ? Comment font les autres entreprises ? Cette article est là pour vous aider. Qu’est-ce qu’un bad buzz ?

C’est un phénomène de bouches à oreilles qui peut sérieusement impacter votre image de marque, et surtout sur les réseaux sociaux.

Ok votre avion est en train de se crasher, vous avez 3 portes de sortie.

SORTIE A : SOYEZ RESPONSABLE

Ne soyez jamais dans le déni et restaurez la vérité, réagissez !

Si une rumeur se repends à propos de votre marque il doit y avoir une part de vérité et une autre inventée par des personnes malveillantes. Ne restez pas silencieux cela voudrait dire que vous êtes en accord avec tout ce qui est dit sur vous aux yeux du public. Prenez votre temps, mais donnez toujours une réponse claire et aussi proche de la vérité que possible.

Aussi, ne supprimez pas le contenu en question, cela créera surement l’effet inverse, soyez le capitaine du navire. Le but n’est pas de faire disparaitre les mauvais commentaires mais plutôt de les réguler au mieux et de calmer la situation.

REGARDEZ ! Voici comment Whole Food a fait en répondant aux critiques avec de rapides excuses, un bon jeu de mot et un packaging amélioré. : en effet, ce fut un coup dur pour la marque lorsqu’une utilisatrice de Twitter a posté une photo de leurs oranges pelées disposées dans des contenus en plastique… La scène du crime ici.

SORTIE B : SOYEZ HUMAIN

Vous devez trouver une réponse qui permettra à tout le monde de se reconnaitre, il faut qu’ils se sentent écoutés même lorsqu’ils ont tort.  De nos jours, avec le marketing personnalisé le client veut sentir qu’il peut avoir un impact sur votre entreprise. C’est une relation en « one to one ».

REGARDEZ ! Voici la manière dont Next Media Animation, un studio d’animation basé à Taiwan qui créé des vidéos satiriques a répondu à leur ancienne employée Marina Shifrin qui avait réalisé une vidéo d’elle-même pour annoncer sa démission. Sur la vidéo on peut la voir danser tout en listant tous ce qu’elle reproche à son entreprise.

Next Media Company a utilisé une communication plus humaine au lieu de la poursuivre en justice.

Voici la vidéo parodique (malheureusement la version originale de Marina n’est plus disponible).

LA RÉPONSE POUR MARINA

SORTIE C : SOYEZ DÉSOLÉS

Ce n’est pas trop tard pour les excuses. Le public a besoin d’entendre que vous regrettez (sincèrement) cette situation et ils veulent savoir ce que vous allez mettre en place par la suite pour améliorer la situation. « Faute avouée à moitié pardonnée »

REGARDEZ ! Voici comment la Redoute s’est débrouillée avec l’affaire de l’homme nu : mauvais choix de la part de la marque de laisser un homme nu dans le fond d’une photo d’un groupe d’enfants riants ! Mais observez comme ce management de crise en deux temps est efficace : d’abord s’excuser puis cette drôle de publicité (désolé ne veut pas dire ennuyeux)

Leur compte Twitter, où tout le monde est habillé.

VOTRE GILET DE SAUVETAGE :

Après la crise, il est temps de prendre du recul et analyser pourquoi s’est arrivé, vous serez, de cette façon, un expert la prochaine fois.

Un des secrets de la communication de crise est d’être préparé à toutes éventualités.

Faites des plans qui permettront de gérer tous les cas possibles : si quelque chose ne va pas avec la qualité de votre produit, une grève des salariés, si votre égérie ne donne pas une bonne image de votre marque, etc… C’est de cette façon que les grandes entreprises s’en sortent, pour chaque potentiel évènement qui pourrait déstabiliser l’entreprise il y a un plan de communication de crise.

Aussi, il faut toujours être au courant de ce qu’il se passe à propos de votre marque. Comme dit Thierry Portal, un spécialiste de la e-réputation dans le cabinet Nitidis : « Les crises de réputation ont lieu lorsqu’on néglige les signaux faibles ».

Back to the blog

Homme en chemise blanche déchirée, portant une machette sur l'épaule dans une jungle dense, avec un regard déterminé.

Peur de se lancer entrepreneur

Passion, la clé du succès

Travaillez pour votre passion

Comme beaucoup le disent, “LA PASSION EST LA CLÉ DU SUCCÈS”. Mais pourquoi tant d’entrepreneurs s’inquiètent ils encore pour leur entreprise, si la passion est l’une des principales raisons pour lesquelles ils l’ont lancée ?

En commençant par quelques faits :
Selon le Global Entrepreneurship Monitor, le taux de peur de l’échec dans les économies mondiales a un taux moyen de 40%. En examinant les statistiques, on constate que dans les premières années du parcours, environ 80% des nouvelles entreprises échouent. Il n’est donc pas étonnant que les personnes ayant un esprit entrepreneurial aient peur de créer leur propre entreprise ! Les perspectives ne semblent pas bonnes.

En tant qu’entrepreneur, vous créez une entreprise pour laquelle vous croyez que personne d’autre ne répond aux besoins de vos clients. Vous voulez construire quelque chose d’unique qui change le monde. Que ce soit quelque chose qui résout réellement des problèmes mondiaux ou qui offre des services pour aider les autres. Les entrepreneurs sont définis comme des humains solidaires qui essaient d’aider les gens tout en gardant à l’esprit le motif financier. Ils combinent leurs rêves et leur carrière et font ce qu’ils aiment. On peut dire que créer leur propre entreprise est lié à suivre leur passion.

Cela semble très attractif, mais je me suis demandé : que signifie réellement la passion ?
Selon Mme Jemi Sudhakar, la “passion” peut être décrite comme suit :

“En général, cela se réfère à quelqu’un qui a des sentiments intenses sur un sujet. (…) Votre passion peut être n’importe quoi qui vous défie, vous intrigue et vous motive simultanément. Contrairement à l’idée que faire ce que vous aimez rend le travail sans effort, une passion vous met au travail. C’est ce pour quoi vous êtes prêt à sacrifier des loisirs et des plaisirs moindres dans la vie.”

Eh bien, cela me semble que être entrepreneur consiste seulement à faire ce que vous voulez ?

Laissez-moi vous dire que la passion pour l’entreprise peut motiver un entrepreneur dans ses tâches quotidiennes – mais l’entrepreneuriat ne se résume pas seulement aux bonnes choses. L’entrepreneuriat ne signifie pas seulement être son propre patron et travailler à des heures flexibles. Ce n’est pas non plus seulement travailler de n’importe où : aujourd’hui à Berlin, demain à New York et peut-être dans le café du coin ou en pyjama directement depuis le lit ? Tout cela peut sembler très attractif pour la main-d’œuvre d’aujourd’hui et ne ressemble pas vraiment à un véritable “travail”. Mais entre nous : vous, en tant qu’entrepreneur, vous avez peur ! Je sais que ce travail comporte des aspects effrayants comme l’amélioration continue, la responsabilité du succès, la compétitivité et la supervision de toutes les activités. De plus, le temps de loisirs et le temps pour vous-même peuvent être limités.

Il est temps maintenant de faire face à ces peurs et de les accepter et les embrasser pour continuer à réussir.

En plus de celles déjà mentionnées, quelles sont les peurs que les entrepreneurs éprouvent lorsqu’ils possèdent ou lancent leur propre entreprise ?

Les peurs d’un entrepreneur

👉 Peur de ne pas être accepté

Pourquoi les gens cherchent ils toujours l’acceptation des autres ? Pourquoi est-il si important ce que les autres pensent de vous et de ce que VOUS faites ? Ne devriez vous pas vous concentrer sur vous-même ? Développez et renforcez l’acceptation et la confiance en vos capacités et compétences. Ainsi, investir en vous-même est la chose la plus importante. Plus vous vous sentez confiant dans vos compétences, plus vous avez le courage de développer votre entreprise. Et à la fin, vous n’avez pas à craindre l’acceptation des autres car vous savez ce que vous valez.

👉 Peur des problèmes financiers

Créer sa propre entreprise s’accompagne automatiquement de la peur financière. Sans cela, ce serait un mauvais signe – cela signifierait que vous êtes beaucoup trop confiant dans ce que vous faites. La vie peut changer rapidement et il est donc nécessaire de se préparer aux difficultés qui peuvent survenir. La sécurité financière devrait être une raison qui vous pousse à travailler dur chaque jour. Pour rendre votre entreprise prospère, il y aura toujours quelque chose dans lequel vous devrez investir de l’argent. Une connaissance générale de la situation financière est donc essentielle.

👉 Peur de perdre la créativité

Les idées créatives sont ce dont les entrepreneurs ont besoin pour mener une entreprise prospère. Par conséquent, il est compréhensible que l’idée de ne pas être capable de trouver des idées uniques à l’avenir soit effrayante. Ressentir toujours la pression de proposer quelque chose de plus créatif et de meilleur que la dernière fois ou que vos concurrents. Ainsi, il est important de nourrir votre créativité.

👉 Peur de l’échec

La peur de l’échec est probablement celle que la plupart des entrepreneurs ressentent. C’est le mot “échec” qui est associé à quelque chose de négatif, comme si quelqu’un n’avait pas réussi. Mais est-ce vraiment si grave d’échouer ? Qu’en est-il des choses que vous avez apprises après avoir échoué ? Peut-être que l’échec peut encore être un succès. Peut-être pas pour l’entreprise que vous avez créée, mais il peut être vu comme un retour d’information qui devrait être utilisé pour améliorer votre entreprise. Pensez toujours au pire scénario possible que vous pourriez rencontrer en échouant – et vous verrez que ce n’est probablement pas aussi grave que vous l’aviez imaginé.

L’un des entrepreneurs les plus connus a dit un jour :

“Il est bien de célébrer le succès, mais il est plus important de tirer les leçons de l’échec.”

Bill Gates

Les ressources dont vous aurez besoin

En lisant ceci, vous pourriez penser que ce n’est pas ce dont vous avez peur. Pourquoi ne serais-je pas capable de trouver des idées créatives dans les 2, 5 ou 10 prochaines années ? Mais peut-être avez-vous simplement repoussé ces doutes ? Parce que vous savez, au final, les gens vous diront seulement : je savais que vous n’y arriveriez pas.

Je vous dis : tous les entrepreneurs éprouvent différentes peurs tout au long de leur carrière. La question la plus importante est : qui prend des risques et se bat pour son succès ? Avancer même si vous avez peur signifie que vous êtes toujours un pas en avant par rapport à ceux qui évitent les peurs et prennent le chemin le plus sûr. Affronter vos peurs vous permettra d’avancer, de relever de nouveaux défis et de grandir, tandis que vos concurrents resteront coincés dans les vieilles habitudes.

Malgré toutes ces incertitudes possibles, être passionné par ce que vous faites peut être un facteur de différenciation entre le succès et l’échec d’un entrepreneur. Non seulement la passion est nécessaire pour un entrepreneur. Il y a certaines caractéristiques qui sont cruciales en plus pour réussir.

Caractéristiques essentielles pour un entrepreneur :

✔️ Imagination

Être créatif est la base d’une entreprise. L’entrepreneuriat consiste à penser en dehors des sentiers battus et à offrir des solutions avancées et meilleures que celles de vos concurrents.

✔️ Auto-motivation

Puisque les entrepreneurs sont leur propre patron, il n’y aura personne pour vous pousser. C’est à vous d’apporter une grande quantité de motivation personnelle afin de rester fidèle à votre objectif global.

✔️ Polyvalence/Flexibilité

En tant qu’entrepreneur, vous vous retrouverez souvent dans des situations inconnues où vous ne saurez pas quoi faire. Les tendances changeantes font partie de votre entreprise. Votre entreprise ne fonctionne que si vous êtes capable de vous adapter à différentes tâches : gestionnaire des médias sociaux, comptable ou développeur de site web ?

✔️ Confiance en soi

Bien sûr, vous ne serez pas toujours confiant dans ce que vous faites. Malgré cela, sans confiance dans ce que votre entreprise offre et dans vos capacités, votre entreprise ne peut pas réussir. Soyez engagé dans votre travail.

✔️ Optimisme

Vous avez besoin de la bonne dose d’optimisme pour atteindre votre objectif. Vous devez croire en ce que vous faites. Mais ne soyez pas naïf !

✔️ Visionnaire

Sans vision de l’entreprise, pourquoi travaillez vous ? Un objectif est essentiel – c’est ce qui vous fait vous lever le matin et vous fait rester éveillé toute la nuit. Sans vision, il n’y aura pas de succès.

Comme vous l’avez peut-être compris en lisant cet article, l’entrepreneuriat n’est pas fait pour tout le monde – et c’est normal. Mais pour ceux qui ont décidé de créer leur entreprise ou qui sont déjà en train de diriger leur propre entreprise, vous devez relever des défis pour réussir. Comme nous l’avons appris, la passion peut être un trait de caractère utile, mais ce n’est pas le seul important pour l’entrepreneuriat. Au moins, nous savons que la passion est ce que vous devez apporter lorsque vous démarrez votre entreprise, afin d’obtenir la motivation quotidienne et de viser quelque chose de grand et de meilleur.

Et n’oubliez pas :

“Une des grosses erreurs que les gens commettent est d’essayer de se forcer à s’intéresser à quelque chose. Vous ne choisissez pas vos passions ; ce sont vos passions qui vous choisissent.”

Jeff Bezos : fondateur, PDG et président d’Amazon

En tant qu’entrepreneur, ne laissez pas les faiblesses couvrir vos forces. Concentrez-vous sur ce en quoi vous êtes bon. C’est votre travail de vendre à votre client ce dans quoi vous excellez, et en arrière-plan, obtenez de l’aide pour ce avec quoi vous avez du mal. C’est votre choix de décider comment vous voulez que votre client vous perçoive : une entreprise avec ses propres problèmes ou une entreprise qui maîtrise tout.

Chez Whatz’hat, nous savons quels défis vous rencontrez au début de votre parcours entrepreneurial. Nous y sommes passés, et nous avons aidé de nombreuses autres entreprises au début de leur parcours ou à une étape ultérieure lorsque le rebranding est devenu un problème.

Travailler avec Whatz’hat vous libère des tâches avec lesquelles vous avez du mal, afin que vous puissiez vous concentrer sur les aspects de votre entreprise qui vous passionnent. Nous vous donnerons confiance en ce que vous faites et créerons quelque chose d’unique AVEC vous pour votre avenir.

N’hésitez pas à nous contacter pour un audit gratuit de votre entreprise – nous sommes là pour vous aider !

Deux femmes portant des casques rouges et des masques colorés, prêtes pour un trajet en moto.

Vivre au Viet Nam

SALUT TOUT LE MONDE !

Je suis Lucie Spillebout, et je viens juste de terminer mon stage dans l’agence de design graphique What’zhat à Ho Chi Minh, au Vietnam. Je voulais donc écrire un article par rapport à ce stage et sur le fait d’avoir vécu pendant 2 mois dans cette immense ville et capitale économique du Vietnam : Saigon.

Premièrement, je voulais venir au Vietnam. Je ne savais pas encore dans quel contexte, ni quand ou ni combien de temps. Au départ, je pensais plus venir ici sous forme de voyage façon backpacker mais je suis venue en tant que stagiaire ; cela m’a permis de combiner la découverte d’un pays et une expérience professionnelle (le road trip sera donc reporté). Je voulais venir ici car, après mes études, je souhaite m’expatrier dans un autre pays et surement un pays d’Asie pour quelques années. J’aimerai réellement m’imprégner de cette culture qui m’intrigue.

EN EFFET, ICI TOUT EST FOU !

Dans un premier temps, les Vietnamiens sont géniaux, ils sont tous en train de sourire. Enfin pas tous, mais bien les ¾, parce que voir des touristes à longueur de journée doit être épuisant à la fin. Mais ils sourient tous, et, le plus adorable, ce sont les enfants qui nous font signe de la main ou viennent nous dire « hello ». Je me souviens me promener à vélo dans la jungle près de Can Tho et de passer devant des maisons, une maison sur deux j’entendais les habitants nous dire bonjour.

Ensuite, ici le stress n’est pas un mode de vie comparé à la France. Les personnes sont calmes et ne cours pas dans tout les sens. Comme au restaurant par exemple, il est très rare que tout le monde soit servi en même temps, les serveurs ne cours pas, on n’entend pas les remarques stressantes venant des cuisines, le service se fait dans le calme et la zen attitude. De plus, j’ai pu remarquer qu’ici les personnes sont plutôt calme même en situation de stress, j’ai vu des scooters tomber en panne sur le côté de la route et le chauffeur le réparer sur le côté dans le calme alors que nous en France on aurait eu tendance à s’énerver.

C’EST VRAIMENT UNE EXPÉRIENCE À TESTER, LA CONDUITE À HO CHI MINH !

Afin de me déplacer de la même manière que les Vietnamiens, j’ai téléchargé l’application Grab. Grab, c’est l’Uber asiatique, mais ici, les courses se font majoritairement en scooter plutôt qu’en voiture. Je n’ai malheureusement pas loué mon propre scooter ne sachant pas en conduire et ne voulant pas risquer d’accidents à l’autre bout du monde. Puis je ne maitrise pas assez bien la conduite de Mario Kart…

Le plus impressionnant dans leur conduite ce sont les feux rouges, on se croirait réellement sur la ligne de départ de Mario Kart, une fois le feu passé au vert tous les scooters partent en même dans et dans tous les sens. On se fait doubler de la droite de la gauche, de partout.

De plus, leur conduite est assez bruyante, ici les clignotants sont très peu utilisés contrairement au klaxon, étant donné qu’ils roulent là où il y a de la place sur la route. Leurs klaxons leurs permettent de prévenir les autres pour tourner, pour doubler par la gauche ou par la droite ou encore couper un croisement… (je me demande comment les conducteurs savent d’où vient le bruit sachant que tous les véhicules klaxonnent…)

DES NOUILLES, DU RIZ, DES MARCHÉS MAIS PAS QUE !

J’ai également testé certains plat typiques Vietnamiens comme le “Phở” qui est une soupe de nouille de riz avec de la viande et des aromates, le “Bún chả” et “Bún thịt nướn”, qui sont des plats à base de nouilles de riz fines, avec du porc et des légumes. La forme du porc différent selon les deux plats et le “Bún thịt nướn” contient des spring rolls et des cacahuètes.

Les plats ici sont tous à base de riz, de nouilles ou de nouilles de riz et de viandes. J’ai visité la fabrique de nouilles de riz à Can Tho au Delta du Mékong après avoir visité les marchés flottants.

J’ai aussi testé des fruits typiques d’Asie du sud comme les petites bananes, le mangoustan, le fruit du dragon, mais je n’ai pas gouté le durian. Ce fruit est très connu pour son odeur repoussante et très forte, cette vérité est avérée et l’odeur est comparable à une odeur de poubelle. Ils sont d’ailleurs formellement interdits dans les aéroports, au grand dam des vietnamiens.

Au travail ou à la maison, nous avons pris l’habitude de commander sur Grab food et de se faire livrer directement sur place. Grâce à cela nous avions accès à de la nourriture venant des autres districts rapidement et simplement. Au travail, nous mangions souvent ensemble, soit au restaurant, soit à l’agence.

Lors de mon stage, je travaillais et vivais à Thao Dien dans le district 2, c’est plutôt un quartier d’expatriés. J’y ai rencontré des français particulièrement mais également des américains, sud-africains, irlandais …

Je parlais essentiellement français et anglais je n’ai donc pas appris beaucoup de mots vietnamiens, j’ai seulement appris à dire bonjour « Xin Chao » et merci « Cam on ». Le quartier de Thao Dien et la ville d’Ho Chi Minh en général n’est pas une zone piétonne, il n’est pas des plus évidents de circuler à pieds ici, c’est pour cela que je me déplaçais essentiellement en Grab scooter. Le district 2 donne l’opportunité de manger tout type de cuisine, étant un quartier d’expatriés, on y trouve tout type de restaurant. Enfin, ce quartier est plutôt calme, ce qui est agréable pour y marcher le soir lorsque la circulation est moins abondante qu’en journée.

Dans le district 1, ou hypercentre, on trouve également tout type de nourriture et à tous les prix. Si on veut trouver de la nourriture moins chère, il faut tout de même sortir des quartiers d’expatriés ou de touristes. Il y a également beaucoup de marchés, j’ai fait celui de Bén Thành celui de Bà Chiểu et un dans le district 10.

MON EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE

Je tenais à écrire cet article pour 2 raisons, dans un premier temps car c’était ma première expérience professionnelle à l’étranger, et, dans un second, car je ne pense pas pouvoir un jour retrouver une ambiance de travail similaire en France.

J’ai effectué mon stage dans l’agence de Design What’zhat qui a été créée il y a 1 an par 2 Français expatriés au Vietnam.

Travailler ici, ou plutôt travailler chez What’zhat c’est travailler en autonomie en ayant des objectifs à réaliser chaque semaine, je devais apprendre à gérer mon emploi du temps et mes taches journalières. J’ai donc dû apprendre à me rendre autonome et rigoureuse dans mon travail pour prouver qu’ils ont eu raison de me faire confiance et de me laisser indépendante. J’ai beaucoup apprécié les rendez-vous hebdomadaires afin d’analyser mes acquis, d’expliquer ce je prévoyais de faire pour la semaine suivante et parler de nos ressentis personnelles et professionnelles.

J’avais 3 missions principales :

  • La première étant une partie business développement c’est-à-dire enrichir le fichier client de l’entreprise en faisant de la prospection LinkedIn.
  • La deuxième, j’étais chargé de référencer le site internet sur des annuaires, ou Netlinking, afin d’améliorer la e-crédibilité du site internet de What’zhat et gagner en visibilité.
  • Et pour finir ma dernière mission principale était d’enrichir le compte Instagram de l’agence, d’assurer une veille et un développement commercial sur cette plateforme.

J’ai trouvé cette expérience enrichissante, elle m’a permis d’en apprendre plus sur le fonctionnement des entreprises, sur la vente et le démarchage client. J’ai pu aussi découvrir le fonctionnement du SEO et l’image de marque d’une entreprise sur les réseaux sociaux. De plus, cette méthode de travail m’a permis d’en apprendre plus sur moi-même, mon autonomie, ma façon de voir le travail et d’aborder celui-ci.

https://www.youtube.com/watch?v=l9sfqk5gaYI

Et vous, y avez-vous déjà été ou travaillé? Partagez moi votre expérience dans les commentaires.

Peinture traditionnelle chinoise représentant un paysage montagneux avec une cascade et une maison entourée d'arbres.

Agence de communication Chine

Comment concevoir votre marque pour la Chine

Vous venez enfin de vous décider à vendre votre produit sur le marché chinois.

Pourquoi pas ? Après tout la Chine, c’est 1 milliard de consommateur, une économie en plein essor et un marché de plus en plus sophistiqué. De quoi faire vibrer n’importe qui avec la fibre de l’entrepreneur. Mais vous savez très bien que cette diversification reste risquée. Et ce pour de nombreuses raisons qui comprennent le design de votre marque.

Alors, comment vous adapter au marché Chinois

  • Assurez vous d’embaucher un professionnel qui traduira efficacement le nom de votre marque en chinois et qui saura prendre en comptes ses implications phonétiques et signification littéraires. Une simple traduction littérale peut avoir des résultats catastrophiques.
  • Contrairement à l’Occident, les Chinois traitent l’information différemment. Ils traitent d’abord l’information général et ensuite analysent les détails.
  • Comme vous pouvez l’imaginer, la couleur et le symbolisme diffèrent de par leur signification par rapport à l’occident. Par exemple, la couleur rouge est considérée comme chanceuse dans la culture chinoise et la pomme est un symbole de paix. Faites une recherche sur les couleurs et les symboles de votre marques. Cela pourra vous amener à faire des changements dans votre conception mais aussi à identifier les opportunités de communication.
  • Faites des recherches approfondies sur ce que votre marque représente pour le marché occidental et transposez là pour le marché chinois pour percevoir ce qui risque d’être malentendu. Gardez à l’esprit que vous pourriez avoir à demander de l’aide à un expert.

Quand on pense au design, on ne pense pas nécessairement à la Chine comme étant l’un de ses principaux contributeurs historique, et a tort. C’est en Chine que l’imprimerie et le papier ont été inventés. Ceci a conduit la chine à avoir sa propre esthétique, sa calligraphie et sa propre interprétation du contenu visuel.

La raison pour laquelle la Chine n’est pas associée au design graphique et à l’art est dû à la révolution culturelle. Pendant ce temps tout support visuel ne provenant pas de l’État était interdit. Mais les temps ont changé, et la Chine s’est ouverte au marché libre. Ce qui, pour les entreprises chinoises a entrainé des problèmes à surmonter. Comme par exemple l’adaptation du design à leur patrimoine culturel tout en étant moderne, un équilibre pas toujours évident à trouver. Aujourd’hui, les entreprises chinoises sont friandes de jeunes talents contemporains qui peuvent communiquer efficacement les valeurs de leur entreprise.

TYPOGRAPHIE

Pourquoi la typographie est-elle aussi importante en Chine ?

Pour les marques en Chine, la typographie et la dénomination de cette dernière sont une partie essentiel du design pour la simple et bonne raison que l’apparence visuelle du nom de la marque et la signification sont complètement indissociable. Si le nom de marque chinois n’est pas étudié, les répercussions peuvent être assez graves et se solde souvent par un échec pour pénétrer le marché.

Les “ratés” de la typographie

Lors de son  entrée sur le marché chinois, Coca Cola a défini son nom Chinois comme étant 啃 蜡 (Kēdǒu kěn là) ce qui est phonétiquement correct mais qui se traduit par «mordre un têtard de cire». Plus tard, ils ont changé leur nom de marque en 可口可乐 (Kěkǒukělè), ce qui signifie «bonheur savoureux» et qui sied bien mieux au marketing de Coca-Cola.

Mercedes Benz est un autre exemple. La partie «Mercedes» de la marque est difficile à prononcer en Chinois et n’a aucune signification. C’est pour cette raison que le constructeur automobile a décidé d’adopter le nom chinois de 奔驰 (Bēnchí) , qui signifie «vitesse de pointe». Un nom de marque mémorable, beau et signifiant.

La typographie réussie

Une fois le nom défini, l’identité visuelle de la marque et la signification de celle-ci seront fusionnées. Cela peut facilement nuire à votre marque si mal exécuté. Cependant, si cela c’est bien fait, la possibilité de transmettre le sens et les valeurs de votre marque est exceptionnelle.

SYMBOLISME

Quelques symbolismes de Chine

À travers le prisme des cultures, les symboles et leur signification peuvent varier considérablement.

Le vert est associé à la positivité dans la culture occidentale et le rouge à la négativité, alors qu’en Chine, c’est le contraire. Le rouge est associé à la chance et la bonne fortune et le vert est associé à l’exorcisme et l’infidélité. En Chine, les formes rondes sont généralement associées à la réunion, à l’harmonie et à l’unité car elles sont plus organiques, tandis que les formes géométriques aux angles aigus sont associées négativement et sont considérées comme disgracieuses. Et ce ne sont là que quelques-unes des différentes interprétations les plus évidentes.

La Chine est un pays extrêmement riche en culture et en histoire, et c’est pour cette raison que nous recommandons  une étude approfondie de l’interprétation de certains symbolismes qui pourraient concerner votre marque.

PRINCIPALES DIFFÉRENCES ENTRE L’EST ET L’OUEST

Du plus grand au plus petit

Les Chinois ont tendance à penser du plus général au plus détaillé, alors que les occidentaux font plutôt l’inverse. Par exemple cela se voit dans la façon dont les Chinois écrivent leur nom (nom de famille puis prénom), mais aussi dans la manière dont ils présentent la date (année puis mois). Ce séquencement peut être traduit dans l’identité visuelle de votre marque afin de mieux s’adapter  à vos client chinois et de maintenir une communication claire et nette.

La consommation de l’information

En occident  l’information visuelle est transmise de manière plus légère et épurée avec l’accent étant mis sur l’aspect principal du message. Alors qu’en Chine (et en Asie en général), les médias sont beaucoup plus chargés en informations. Cela est dû à plusieurs raisons:

  • Premièrement, les caractères chinois prennent moins de place que les caractères latins et tous les caractères chinois ont une forme carrée, quelle que soit leur complexité,
  • Deuxièmement, parce que l’information est consommée de manière différente, les Chinois ont tendance à parcourir et consommer du contenu beaucoup plus lourd sur une seule page avec des images plus petites. Autrement dit, lors de la conception de votre interface, n’hésitez pas à mettre beaucoup d’éléments.

Les principes de conception s’appliquent

Tout cela peut sembler compliqué mais il y a une bonne nouvelle. Même s’ils sont interprétés de différentes manières ou avec une accentuation différente, les principes du design s’appliquent toujours et peuvent même être totalement transposés d’une audience à l’autre.

Avez-vous besoin d’aide pour vous attaquer au marché chinois ? La réponse est… probablement. Si il est essentiel que votre marque soient facilement identifiable ou si  vous êtes sur un segment compétitif notamment avec des marques chinoises, il y aura des subtilités à prendre en compte pour créer un branding efficace sur ce marché. Il est donc risqué d’essayer de tout faire en interne sans connaissance de ces notions.

Dans le cas où vous implantez votre marque, n’oubliez pas que certains éléments occidentaux seront aussi un atout. En effet, une touche “européenne” est gage de qualité dans la perception des clients chinois. Ainsi, adaptez votre marque suffisamment pour que vos valeurs et votre message soit optimisé à votre audience, mais pas au point où l’identité de la marque soit complètement effacée.

Croyez vous que vos futurs clients Chinois sauront apprécier votre touche d’exotisme?