Homme souriant pointant du doigt

Qu’est-ce que le Copywriting ?

Définir le Copywriting

Si vous deviez parler individuellement à chaque client pour les persuader
Le pouvoir d’utiliser l’écrit pour persuader quelqu’un d’agir
Conclure par écrit. La capacité à persuader, influencer et engager.

Imaginez si l’écriture n’existait pas. Imaginez que, en tant que propriétaire ou gestionnaire de marque, vous deviez parler individuellement à chaque prospect, chaque client, chaque partenaire et chaque passant. Cela signifie que vous devriez leur dire le nom de votre marque, votre argumentaire, etc. Mais pas seulement cela, vous devriez également vous battre pour attirer l’attention (encore plus que maintenant). Cela équivaudrait à beaucoup d’efforts, de temps et de salive.

Mais bien sûr, l’écriture existe. Elle a été inventée il y a longtemps, en 3200 av. J.-C. Depuis lors, on peut dire que le copywriting est né. Surtout si vous considérez la définition suivante du copywriting : La capacité à utiliser l’écrit pour persuader quelqu’un de prendre une action.

Mais ne diriez vous pas que c’est le cas de tous les écrits ?

Le copywriting a traversé de nombreuses étapes avant de devenir ce qu’il est aujourd’hui. En commençant par les cunéiformes gravés sur la pierre qui ressemblaient à ceci :

Jusqu’à notre alphabet affiché sur cela :

Une perception plus commerciale du copywriting pourrait être plus adaptée à votre compréhension : La capacité de persuader, d’influencer et de conclure des ventes par écrit.

Pour votre visualisation, imaginez si que l’homme de la vignette de ce blog était un texte.

Pourquoi le Copywriting est-il Important ?

Ventes et Image de Marque

Le copywriting est important pour les ventes, bien sûr. Parce que les écrits que vous diffusez sur vos canaux de communication deviendront votre voix. Mais au-delà de cet objectif axé sur les ventes, il y en a un autre qui ne doit pas être négligé, et c’est l’aspect branding. Le copywriting sert votre branding car il est votre porte-parole constant et éternel pour votre entreprise.

Comme tout porte-parole que vous engageriez, il doit correspondre à ce qu’est votre entreprise et à ce qu’elle essaie d’accomplir : la manière dont il se présente, la manière dont il s’habille, mais surtout, la manière dont il parle. En copywriting, si les mots sont le “quoi” du sujet, le ton est le “comment”.

Lorsque vous avez décidé de créer une marque, vous aviez une idée de certains mots-clés que vous aimeriez y associer. Ces mots-clés sont ensuite véhiculés à travers tous vos canaux de communication dans le cadre de votre plan marketing. Le copywriting ne s’échappe pas du cadre du marketing. Et la manière dont le contenu est écrit devra transmettre ces mots-clés.

Cela se fait de plusieurs manières, comme le choix des mots, la formulation, le choix des pronoms et le type de contenu lui-même.

Différents Tons de Voix

Peut-être n’êtes-vous pas sûr de la manière dont un ton de voix est défini ou de la manière dont votre marque est représentée à travers lui. Une manière évidente de le découvrir est de vérifier comment vos clients parlent. Après tout, ce sont eux qui vont lire votre contenu et agir en conséquence. Mais ils se sentiront plus proches d’une organisation qui les comprend ET qui a leurs meilleurs intérêts à cœur avec une offre pour résoudre un problème qu’ils ont.

Voici un spectre des différents tons que votre entreprise peut adopter :

  • Concis / Discursif
  • Détaché / Chaleureux
  • Professionnel / Décontracté
  • Sérieux / Amusant
  • Formel / Informel

Vous pourriez regarder ce spectre de tons et dire quelque chose comme “Je n’ai pas vraiment besoin d’un ton parce que je vends à d’autres entreprises”. Je comprends.

Un ton est quelque chose de polarisant dans une certaine mesure et ce n’est pas quelque chose que vous voulez lorsque vous travaillez avec d’autres organisations. Cependant, je soutiendrai que c’est une bonne chose.

Si votre contenu est corporatif et fade sans aucune personnalité, il ne faudra que quelques secondes avant que votre lecteur ne clique sur le bouton retour. Votre marque peut être beaucoup de choses, mais elle ne peut pas être ennuyeuse. Penser que cela ne s’applique pas à la communication B2B est tout simplement faux car nous sommes tous des humains communiquant les uns avec les autres.

J’ajouterais même que nous sommes des humains du 21e siècle avec une haute intolérance à tout ce qui est ennuyeux. Donc, ne laisser aucune impression à votre audience est la pire chose qui puisse vous arriver. À l’inverse, si quelqu’un déteste votre ton, c’est génial, cela signifie qu’il plaira sûrement à quelqu’un d’autre.

C’est là que la définition commerciale du copywriting est limitée. Elle exclut en quelque sorte l’approche plus psychologique qui existe entre le copywriting de votre marque et votre cible.

Voici une définition plus moderne de la discipline : Les mots écrits de votre concept d’entreprise et de votre stratégie marketing.

Comment Faire du Copywriting ?

Nous voulons des mots pour booster les ventes, créer un bon branding et pousser votre cible à l’action.

Génial !

Mais d’abord, nous devons écouter.

Nous voudrons vous connaître, vous, votre organisation, ce que vous faites et l’essence de ce qui fait vos clients. Cela peut sembler inutile, mais si nous pouvons comprendre qui vous êtes, il sera facile de créer du contenu de pointe et de faire en sorte que votre cible se soucie de ce que vous avez à offrir.

Les ventes n’ont pas vraiment changé, mais la façon dont nous faisons des ventes a changé, voici comment :

🚫 Finies les journées où un acheteur venait sur un site pour la première fois et faisait un achat.
🚫 Finies les journées où les discours centrés sur le produit concluaient l’affaire.
🚫 Finies les journées où les ventes agressives et l’intrusivité faisaient acheter les gens.

Nos clients ont mûri, ils connaissent tous les trucs de vente.

Ça empire. Ils peuvent sentir qu’ils sont dirigés et pourraient vous repousser. Cela peut s’avérer fatal. Car aujourd’hui, ils ont accès à d’innombrables autres offres à portée de main grâce à la puissance d’internet. Si le comportement de votre cible change, vous devez changer avec eux.

Les ventes réussies d’aujourd’hui sont faites par l’auto-persuasion plus que par la persuasion directe.

Un texte “vente” ne fait pas un contenu mémorable. Il est soit peu attrayant, soit ennuyeux et cela signifie qu’avec le temps, votre entreprise perd ou ne gagne pas en confiance et en autorité.

Voici ce qu’un bon copywriting fait :

1 – Il rapporte de l’argent.

Ce n’est pas parce que les ventes ont changé que c’est devenu quelque chose de différent. En fin de compte, un bon copywriting convertit, toujours. Les services professionnels ont un taux de conversion de 10%, tandis que les sites de commerce électronique ont un taux de conversion de 3%. Le copywriting sur une page de destination peut ajouter 2% à ces chiffres. En d’autres termes, cela peut augmenter les ventes de 50%.

  • Taux de conversion de 1% : vous avez besoin d’un copywriter.
  • Jusqu’à 3% : pas mal.
  • De 3 à 5% : vous avez des compétences.
  • À partir de 5% et plus : vous avez engagé un professionnel.

2 – Il est honnête et clair

Ne pas dire la vérité pour vendre est une mauvaise idée. Les entreprises respectables le savent bien. Cependant, de nombreuses entreprises sont coupables d’utiliser un langage ambigu. Toutes les entreprises ont leurs lacunes. Il peut être tentant de les dissimuler avec un langage délibérément ambigu et obscur, ou avec des formulations tortueuses et trompeuses. Cela ne fonctionne pas.

Un contenu clair et compréhensible est plus agréable à lire car il coule naturellement pour le lecteur. Si votre texte est facile à lire, alors votre audience aura l’impression que votre offre est facile à acheter.

3- Il est intéressant

Comme mentionné précédemment, avec le changement de comportement des consommateurs dans le monde, les entreprises doivent changer leur façon de communiquer. Aujourd’hui, la route vers les ventes est pavée de bon contenu.

Ce bon contenu peut prendre différentes formes, mais permettez moi de vous dire que si vous pensez qu’il s’agit de votre marque et de votre produit, vous vous trompez probablement. Vous devez penser à vos clients :

✅ Que veulent ils lorsqu’ils cherchent des choses sur leur navigateur ?
✅ Quelles informations liées à votre secteur aimeraient ils acquérir ?

Utilisez votre site web comme moyen de vente directe, mais ne donnez pas l’impression que c’est ce pour quoi il est fait. Parce qu’internet est avant tout un moyen d’obtenir des informations et votre entreprise devrait sauter sur l’occasion pour leur en donner. En faisant cela, vous deviendrez une référence dans l’esprit de votre cible. Ils se souviendront de vous et reviendront pour en savoir plus… et probablement acheter chez vous lorsque le moment viendra.

En retour, cela augmentera les ventes, boostera votre trafic, vous donnera des backlinks et améliorera votre classement sur les moteurs de recherche, ce qui à son tour générera encore plus de trafic vers votre site et augmentera les ventes. 🔃

Alors, comment faire un Bon Contenu ?

Ingrédients Clés :

  • Bonne Écriture : Grammaire et langage corrects.
  • Design et Marketing Combinés : Une bonne écriture doit aussi être esthétiquement plaisante et facile à trouver.
  • Mettre en Avant la Valeur : Le message aura un impact plus durable s’il est basé sur la valeur fournie par le produit ou le service.
  • Spécificité : Utilisez des statistiques et des données concrètes pour appuyer vos affirmations.
  • Toucher Personnel : Écrire comme si vous parliez directement à votre lecteur, rendant le contenu plus personnel et engageant.
  • Ton de Voix Approprié : Utilisez le langage de votre audience pour être compris.

En suivant ces principes, vous pouvez créer un copywriting convaincant et efficace qui stimule l’engagement, construit votre marque et augmente les ventes.

N’hésitez pas à nous contacter pour un audit gratuit de votre entreprise – nous sommes là pour transformer votre communication et maximiser votre impact !

Conception de prototypes d'emballage

Packaging produit

Packaging : votre atout communication !

Vous l’aurez certainement remarqué, avec la croissance des enjeux écologiques la tendance est aujourd’hui au vrac. Bien que ces nouvelles préoccupations et habitudes de consommation ne doivent pas être négligées, le packaging traditionnel reste indispensable dans de nombreux cas que ce soit pour des raisons d’ordre technique ou commercial.  

Le rôle et les fonctions du packaging

Pour certains le packaging n’existe que pour faire joli. Cependant la plupart du temps sa fonction première est un rôle technique : que ce soit pour contenir un liquide, protéger un produit fragile, participer à la conservation d’un aliment, permettre ou faciliter son utilisation par le consommateur (comme cela est le cas avec la fameuse languette Flanby, ou bien les bouchons à hélices Pom’Potes qui permettent aux enfants d’ouvrir leur gourde plus facilement) …

Le pack a également des fonctions commerciales et marketing. Bien que secondaires, ce sont celles qui nécessitent le plus de réflexion stratégique, car le packaging est votre premier outil de communication (celui dont vous ne pouvez pas vous passer du fait de ses fonctions techniques, et qui est donc dans un sens « gratuit ») et qu’il vous permet de véhiculer un nombre considérable d’informations. C’est d’ailleurs selon moi le rôle le plus important du point de vue de la marque, notamment en grande distribution où votre clientèle ne bénéficie pas de conseils d’achat et où la concurrence est rude. Un pack bien construit peut dans ce cas faire toute la différence !

Votre packaging va vous permettre de véhiculer différents messages comme :

✔️ Identifier votre nom et image de marque ainsi que son positionnement. 
✔️ Communiquer votre stratégie.
✔️ Informer votre consommateur sur le produit en lui-même, sa composition, son utilisation.
✔️ Attirer, en faisant ressortir votre produit parmi son environnement concurrentiel et/ou en créant un attrait et une émotion spécifique auprès du consommateur. Un packaging suffisamment impactant sera un réel vecteur de votre image de marque et permettra d’améliorer votre notoriété.

Source : aesop.com

Source : aesop.com

Par exemple, le pack Aésop. bien qu’extrêmement sobre permet à lui seul de véhiculer les messages clés de la marque :

✔️ Le nom de marque : première information visible et détachée du reste pour le mettre en évidence
✔️ La stratégie de transparence est clairement affichée en mettant la liste d’ingrédients en facing alors qu’usuellement ces informations sont au dos
✔️ L’utilisation du noir et du blanc véhicule à la fois la simplicité de la marque et le positionnement légèrement premium

Comment vous assurer de développer un packaging percutant ?

En tant que marque, vous aurez à gérer principalement les étapes clés de réflexion et conception de la chaîne graphique lors du développement du pack, mais vous devrez également gérer les étapes de contrôle des documents lors de la phase d’impression. Un peu fastidieux mais à ne surtout pas négliger car c’est vous qui connaitrez le mieux votre pack et donc vous serez le plus à même de voir les potentielles erreurs. Et surtout s’il y a un problème sur le résultat final c’est vous qui serez impacté !

Rédigez un brief exhaustif pour guider le graphisme

Il s’agit de réfléchir à la stratégie que doit véhiculer votre pack et de centraliser le tout dans un cahier des charges pour guider votre graphiste dans sa conception. Par expérience, on cherche souvent à avancer au plus vite sur le graphisme, or sans avoir validé (au moins en partie) le format de votre pack cela n’a pas trop d’intérêt de commencer à y réfléchir en profondeur. En effet, l’agencement et la quantité d’informations vont dépendre très fortement du support : de sa forme, de la surface disponible… Je vous recommande donc de vous poser dans un premier temps sur les grandes lignes du format avant de vous attaquer au brief graphique dans le détail.

Définir le brief fonctionnel pour savoir pour quel format et quels matériaux opter

Voici la liste de questions que je me pose systématiquement pour affiner mon brief :

  • Que doit contenir mon pack ?
  • Quelles fonctions techniques mon pack doit-il remplir ?
  • Quelles sont mes contraintes techniques liées au stockage, au transport, à la ligne de production, à la mise en rayon… ?
  • Quel est le coût unitaire maximum que je souhaite investir ?
  • Quel(s) matériau(x) souhaite je privilégier (en fonction du coût et du positionnement de la marque) ? Par exemple, dans le domaine des spiritueux on peut avoir plusieurs options : uniquement la bouteille pour un produit d’entrée de gamme, la bouteille dans un étui carton pour du cœur de gamme ou bien encore la bouteille dans un canister (plus solide) pour un positionnement premium.
  • Combien de couleurs (notamment de couleur Pantone) puis-je / dois-je utiliser ? Si vous le pouvez, utiliser une couleur Pantone pour votre logo afin de vous assurer de sa cohérence entre vos différents supports imprimés.

Pensez également à cette étape à prendre en considération l’aspect écologique. Il existe aujourd’hui plusieurs aspects sur lesquels jouer pour optimiser la durabilité de votre packaging comme l’encre ou le matériau utilisés (utiliser moins de matériau, un matériau facilement recyclable ou développer un pack qu’on peut réutiliser).

Voici la liste de questions que je me pose systématiquement pour affiner mon brief :

C’est certainement l’aspect le plus important de votre réflexion. Vous pouvez tout à fait opter pour un format et un matériau de pack standards et miser entièrement sur le graphisme pour vous démarquer. C’est d’ailleurs souvent le cas pour des produits d’entrée ou de cœur de gamme.

Le brief créa va ensuite être interprété par votre graphiste, c’est pour cela qu’il faut veiller à être exhaustif sur le contenu que vous souhaitez voir sur votre pack et guider suffisamment l’aspect créatif pour être en cohérence avec votre image de marque.

Listez dans un premier temps le contenu écrit :
  • Liste exhaustive des informations obligatoires et recommandées (informations règlementaires, liées à la qualité…) + préciser l’emplacement qu’elles doivent respecter si cela est règlementé. Pensez à bien définir ces éléments en premier lieu car c’est ce qui va contraindre l’espace restant pour les éléments optionnels.
  • Nom de votre marque et du produit, ainsi que le logo
  • Conseils d’utilisation, de préparation du produit…
  • Informations « marketing » permettant de raconter votre histoire et de créer un lien avec le consommateur, et toute autre information que vous souhaiteriez véhiculer comme une offre promotionnelle, le reste de votre gamme…
Donnez de la matière à votre graphiste :
  • Charte graphique intégrale à joindre au brief
  • Explication du contexte pour permettre au graphiste de comprendre les enjeux : votre cible et positionnement, la raison du projet (nouveau produit, relifting…).
  • Benchmark des packagings concurrents pour connaitre l’univers concurrentiel et savoir comment sortir du lot.
  • Si vous avez des produits déjà existants joignez les visuels des packs afin de pouvoir dès le départ créer une harmonie et une homogénéité indispensable à l’image de marque, mais aussi apporter suffisamment de différenciation pour bien comprendre la construction de votre offre.
  • Si votre marché et votre positionnement l’imposent : les codes à respecter. Par exemple, sur des produits comme les laits infantiles, il y a un vrai besoin de réassurance auprès de l’acheteur. Il est donc indispensable de respecter les codes du marché.
  • Au contraire, si vous faites une édition limitée, que votre produit est peu engageant ou que votre marque possède déjà une belle notoriété, vous pouvez vous permettre de vous écarter des codes habituels comme par exemple les éditions limitées de Heineken pour l’Euro de foot où le nom de la marque est minimisé au profit des pays participants.

Source : Danstapub.com

Assurez-vous de la cohérence brief / expression graphique

Tout au long de la conception graphique gardez à l’esprit votre brief : tous les éléments qui y sont mentionnés doivent apparaitre sur le pack. Prenez également le temps de réaliser une maquette pour vous rendre compte du rendu en 3D à taille réelle, pour juger de la bonne visibilité et lisibilité des différents éléments en facing (on ne se rend compte de ce genre de chose qu’à taille réelle) et pour tester le design en situation réelle en la positionnant :

  • Avec le reste de vos produits pour vous assurer à la fois d’une cohérence pour que le consommateur fasse le lien entre les différents produits de votre marque, mais également d’une différenciation pour comprendre qu’il s’agit de produits ou même de gammes différents.
  • Auprès des packs concurrents pour vous assurer que votre pack ressorte suffisamment.

Ce n’est qu’une fois tous ces points validés (et que le graphisme vous satisfait) que vous pourrez communiquer le fichier à l’imprimeur.

Quels points vérifier une fois votre fichier dans les mains de l’imprimeur ?

Contrôle #1 : Après adaptation de votre fichier par l’imprimeur (indispensable pour qu’il passe sur des machines techniques) pensez à vérifier :

Contrôle #2 : Le BAT ! C’est à ce moment que vous allez valider les couleurs de votre pack par le biais d’un document nommé sortie couleur, cromalin ou épreuve couleur. Pour un projet très stratégique ou si vous collaborez avec un nouvel imprimeur je vous recommande de vous rendre sur place pour cette étape. Vous pourrez plus facilement demander les ajustements nécessaires. N’hésitez pas également à profiter du BAT pour vérifier à nouveau les textes et images car un BAT validé sert de base de contrôle à votre imprimeur pour le reste de la production.

Contrôle #3 : Ultime vérification à réception des premières sorties de production, pour s’assurer que tout est conforme par rapport au BAT, surtout s’il s’agit d’une réimpression.

Le Roi Lion le film 2019

FILM ANIMÉ, LIVE-ACTION OU MOTION CAPTURE ?

Ces dernières années les grands classiques version 2019 de Disney nous ont émerveillé : « Dumbo » de Tim Burton, « Aladdin » toujours disponible dans certaines salles de cinéma ou encore « Le livre de la jungle » prouesse numérique.

Voici comment Disney a décidé de renouveler son image : retravailler tous ces grands classiques animés en film faits sur ordinateur.

La distinction entre film animé, live action ou motion capture se fait de plus en plus précise. Neel Sethi était par exemple le seul réel acteur dans le Livre de la jungle, il interagissait avec des animaux fait entièrement d’images de synthèse.

Mais c’est avec Le Roi Lion que les studios Fairview Entertainment repoussent encore une fois les limites en proposant un film entièrement créé sur ordinateur et hyper réaliste.

Lors d’une interview Jon Favreau, producteur en chef du Roi Lion a lui-même admis ne pas savoir s’il s’agissait d’un film animé ou un « live action », il ajoute même qu’il ne s’agit d’aucuns des deux. Il souhaitait nous offrir des images dignes d’un reportage animalier de la BBC et qui ne ressemble en rien aux effets visuels fait sur ordinateurs même si les animaux parlent et ont des comportements humains. Le trailer disponible ici :

Aucune scène du film n’a été tournée en vrai. Jon Favreau a fait des repérages au Kenya en Afrique récoltant des images de paysages naturels pour qu’ils puissent servir de source d’inspiration artistique. Une fois en boîte, ces plans tournés en prises de vues réelles ont sans doute été retouchés numériquement, afin de coller au style graphique du reste des scènes. Mais attention, il ne s’agit pas non plus d’une « performance capture » ou « motion capture ».

En effet, les acteurs et artistes recrutés ont seulement prêté leurs voix : James Earl Jones double Mufasa, Donald Glover est Simba, Beyoncé Knowles, Nala… Un grand casting qui ajoute à l’impatience des fans. De plus, aucun animal n’a été réellement filmé, l’équipe artistique et design s’est seulement inspirée de la nature pour que les animaux semblent le plus réel possible. Quelques images des coulisses disponibles ici, sous-titres Anglais disponibles :

C’est donc avec impatience que nous attendions le 19 juillet pour enfin pouvoir apprécier le résultat de tous les efforts des équipes design ! En attendant nous vous offrons 3 faits inédits à propos du dessin animé de notre enfance :

  1. Le Roi Lion devait à l’origine s’intituler « Le Roi de la jungle » jusqu’au moment où l’équipe s’est rendu compte que les lions ne vivent pas dans la jungle…
  2. Simba, Sarabi, Rafiki, et Pumbaa sont des mots swahilis. Ils signifient : lion, mirage, ami et stupide.
  3. Pour la scène de Scar et des hyènes « Soyez prêtes », Disney s’est inspiré de photos nazies. Qui l’eu cru !

Et vous, avez vous des choses inédites à propos du Roi Lion ? Ecrivez nous tout ça dans les commentaires.

Créer son logo de marque

Bonjour chers lecteurs !

Aujourd’hui je vous révèle tous les secrets de la fabrication d’un logo. C’est une mission de la plus haute précision et le résultat final doit être parfait ! C’est pourquoi tous les aspects doivent être réfléchis au préalable. En passant par le choix des couleurs, des formes et de l’émotion souhaitée. Nous terminerons par un podcast à ce sujet. Sophie Bodineau, fondatrice et graphiste pour What’zhat design Agency, analysera pour nous 3 logos.

Maintenant passons au véritable sujet.

LA SIGNIFICATION DES COULEURS

La couleur est ce qui est remarquée en premier, elle sera connectée à votre marque et visible sur tous vos supports de communication.

Chacun couleur a une signification, une connexion inconsciente dans l’esprit des personnes (notamment dans les pays occidentaux). C’est pourquoi il est très important de réfléchir aux mots clefs de votre entreprises.

– Le rouge représente les paradoxes, l’amour/la colère, la bravoure/le danger, le zèle/l’interdiction

– Le vert représente le renouveau, la croissance, l’espoir, la nature et la chance

– Le jaune représente la lumière, l’égo, le savoir, l’amitié et la joie

– Le bleu représente la sécurité, la stabilité, la loyauté, la sagesse, la confiance et la science

– Le rose représente la tendresse, le romantisme, la féminité et la beauté

– L’orange représente la communication, le dynamisme, l’enthousiasme et le fun

– Le noir représente la puissance, le mystère, l’élégance, la simplicité et le rigueur

Attention ! Chaque association psychologique à propos des couleurs peut rapidement changer en fonction des cultures, des actualités, des années, de l’histoire personnelle de chacun et des tendances.

Pour plus d’info n’hésitez pas à consulter ces sites : code-couleur.com et Pantone.

LA SIGNIFICATION DES FORMES

Si vous utilisez des formes dans votre logo (parfois les marques utilisent seulement une typographie) cela aura un impact sur la perception des valeurs et de l’identité de votre marque. Pour atteindre votre cible vous devez savoir reconnaitre les associations inconscientes du cerveau à propos de certaines formes.

Voici les plus courantes et leurs significations pour la plupart des individus :

– Les formes arrondies : accueillant, chaud

– Les formes carrées et rectangulaires : sérieux, stable et équilibré

– Les formes triangulaires : pouvoir, dur

– Les formes organiques : flexibilité, naturel

– Les formes en spirale : introspection, inspirant et continu

– Les lignes verticales : hiérarchie, supérieur et fort

– Les lignes horizontales : communication, calme et serein

Le conseil est d’utiliser les formes avec parcimonie, trop en faire peut compliquer la compréhension. Un bon logo est clair et lisible. Vous pouvez également créer des formes sans les ajouter réellement grâce à la technique des formes positives / négatives, quelques exemples ici.

UN MÉLANGE INTELLIGENT

Pour un logo, tout est possible, n’importe quelles formes et couleurs, cependant un graphiste gardera toujours à l’esprit le message principal de l’entreprise et ses mots clefs. Il en résulte souvent un mélange cohérent. Dans le cas où votre client souhaite absolument un triangle, avec des angles pointus, alors qu’il vend des fournitures destinées aux nouveau-nés, il est possible adoucir le tout en ajoutant un bleu très clair par exemple. Tout est une question d’équilibre.

LE PODCAST

Comme promis voici un podcast qui revient sur la théorie du choix des couleurs et des formes.

Plus, l’analyse de 3 logos, ci-dessus, créés par l’équipe What’zhat (en français) :

QUELLE SONT LES SIGNIFICATIONS DES DIFFÉRENTES TYPOGRAPHIES ?

Comme dit Wikipédia, la typographie correspond aux différents procédés de composition et d’impression utilisant des caractères et des formes en relief, ainsi que l’art d’utiliser les différents types de caractères dans le but de rendre le langage lisible, attrayant et intelligible. En effet ce sont 3 des principaux éléments que nous prenons en compte pendant nos réunions avec nos clients.

Tout d’abord, cette image vous permettra de comprendre ce qui différencie les typos les unes des autres :

Pour autant je vous rassure il n’est pas nécessaire que vous connaissiez tous ces mots techniques en détail, je sais que vous n’avez pas le temps ! Je vous propose donc de lire la suite qui s’intéresse plus à l’aspect psychologique de chaque type de typo.

Chaque police de charactère ne se jumèle pas avec n’importe quelle autre. Avoir une bonne combinaison vous permettra de créer de la profondeur dans votre identité (cette règle s’applique également à tout vos supports de présentation et designs, remerciez moi plus tard pour l’astuce). Vous trouverez juste là, un lien vers un très bon site qui vous épargnera les fautes de gout. Vous aurez aussi besoin de ce site internet qui permet de télécharger vos typos préférées.

L’IMPORTANCE DES ÉMOTIONS

Après avoir choisi vos couleurs, formes et typo vous commencerez à obtenir une bonne première vision de votre futur logo. Cependant, si vous vous arrêtez ici vous raterez probablement la meilleure partie : les émotions. De nos jours nous n’achetons plus les produits comme nous le faisions avant. Les clients sont à la recherche (de manière inconsciente) d’une relation avec la marque. Ils n’achètent plus le produit seulement pour ses caractéristiques mais aussi pour ce que représente et véhicule la marque.

C’est pourquoi vous devez d’autant plus vous concentrer sur votre logo. Essayez de jouer sur une de ces 6 émotions reconnues comme les plus fortes par les spécialistes : la joie, la fierté, la confiance, la curiosité, la peur et la culpabilité.

Par exemple :

Desigual grande marque de prêt à porter a su créer un logo qui selon nous, représente très bien plusieurs de ces émotions. Grâce aux formes très organiques qui semblent former une explosion de couleurs, Desigual souhaite attiser la curiosité des clients. Ces mêmes couleurs, par leur clarté, invitent de tout évidence au sentiment de joie, au sentiment de fête.

Enfin la typographie qui s’inverse par moment montre que Desigual n’hésite pas à aller à contrecourant et impose son sentiment de fierté avec un typo très grasse. On voit ici, dans ce très bon exemple, que tous ces éléments forment un ensemble cohérent et qui correspond tout à fait à la marque.

VOTRE LOGO EST TERMINÉ !

Il est maintenant temps d’apprécier votre logo et de l’afficher partout. Mais n’oubliez pas que le temps file ! Vous vous devez d’être flexible lorsque vous êtes confronté à un environnement en constant changement. Comme expliqué plus haut, la signification des couleurs, des formes et des typos peuvent changer du jour au lendemain en fonction des évènements. N’hésitez pas à changer ou moderniser votre logo lorsque vous sentez qu’il en est temps. Ne soyez pas frileux ! Vos clients serons surpris dans le bon sens et parlerons de vous pendant la pause café ! Il est bon et positif pour eux de voir que votre business évolue et suis les tendances. Faîtes évoluer votre logo en bonne intelligence, suivez votre stratégie déjà mise en place et rester en accord avec votre image de marque et vos valeurs.

Par exemple :

Paypal qui propose des moyens de paiement en ligne, n’a pas seulement fait évoluer son logo selon son environnement et selon les tendances actuelles mais aussi en fonction de sa propre histoire. En effet, en 1999 seulement très peu de personne utilisait ce service. Internet n’avait que deux années d’existence, on voit donc qu’au fur et à mesure que l’entreprise à pris en importance, elle à aussi gagner en confiance dans sa façon d’aborder son logo, les lettres sont pleines, les couleurs plus franches et l’ensemble plus adapté à une entreprise leader.

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Processus de développement d’un nouveau produit

Développement produit : Quelles sont les étapes clés

Concevoir un nouveau produit c’est bien, mais bien le concevoir c’est encore mieux ! C’est pourquoi, prendre le temps de construire son nouveau produit est essentiel pour proposer à vos clients potentiels l’offre la plus pertinente qu’il soit pour que le lancement soit réussi.

L’importance de bien connaitre son client

Avant toute chose, parlons persona.

Le persona est la représentation de votre client idéal. Dans toute démarche marketing, il est important de garder en tête qui il est pour rester pertinent, vous faire gagner du temps mais surtout pour vous guider dans vos actions futures, qu’il s’agisse de développement produit, de création de contenu, de choix de supports de communication… Mais pourquoi être autant orienté vers mon client ? Tout simplement car il est votre raison d’exister : sans client au rendez-vous il n’y a pas de business possible, et que le marketing c’est certes parfois un peu d’intuition mais c’est surtout et avant tout s’adresser de manière convaincante mais juste à son client. Alors prendre un peu de temps pour faire connaissance ne semble pas complètement inutile !

La définition de son persona consiste à créer un personnage type en établissant une sorte de carte d’identité (quel est son âge ? son sexe ? son lieu de vie ? sa situation familiale ?), mais surtout en identifiant le plus précisément possible son mode de vie. Pour cela vous devez pouvoir répondre aux questions suivantes :

✔️ Quel type de métier fait-il ? Quelle est sa catégorie socio professionnelle ?
✔️ Quelles sont ses habitudes ? Quel est son style de vie ?
✔️ Quelles sont ses croyances ? ses valeurs ?
✔️ Quels supports de communication utilise-t-il pour s’informer ou se divertir ?
… et tout autre point lié à votre secteur d’activité que vous jugerez pertinent.

Certains sites pourront vous aider dans la construction de votre persona et vous proposent également des modèles de fichier pour conserver précieusement ces informations : XtensioHubspot ou encore WeLoveUsers.

Le processus de développement en 4 étapes

Un développement de produit peut survenir soit par besoin d’élargir votre offre, soit par identification d’une opportunité qui se présente à vous et que vous ne souhaitez pas laisser passer. Dans les deux cas – outre l’étape de génération d’idée – le processus de développement sera sensiblement le même.

1. Générez des idées, puis écrémez les

Avant d’arriver à une idée pertinente d’une nouvelle offre, le chemin peut être long alors mieux vaut travailler cette étape avant même d’en avoir besoin.

👉 Restez constamment en veille

Le meilleur moyen pour engendrer de nouvelles idées est de rester quotidiennement en veille à la fois sur votre secteur d’activité mais également sur les secteurs annexes : suivre ce que font vos concurrents directs et indirects, suivre l’évolution et les tendances de votre marché à la fois dans votre pays et à l’étranger, être au fait des avancées et des nouveautés technologiques, environnementales, politiques… Outre le fait de vous aider à trouver de nouvelles idées, c’est comme cela que vous comprendrez mieux votre marché.

👉 Analysez ce que disent vos consommateurs

Comme toujours on pense client et consommateur et on les intègre directement dans la boucle car ce sont eux qui vous en apprendront le plus sur leurs attentes ou besoins. Lisez attentivement les messages qu’ils vous envoient, mais surtout allez faire un tour sur les forums et prêtez attention aux commentaires qu’ils font sur les réseaux sociaux car c’est là que leurs remarques seront les plus sincères et libérées.

👉 Brainstormez en équipe

Discutez avec vos collaborateurs et vos proches pour partager vos idées et échanger vos points de vue pour à la fois vous aider à générer un maximum d’idées mais aussi pour les trier et n’en conserver qu’une liste restreinte.

L’écrémage doit vous permettre de vous concentrer uniquement sur les idées avec un certain potentiel. Pour cela, analysez ces idées selon différents critères :

✔️ Le pouvoir de désirabilité de votre idée sur votre persona
✔️ Son potentiel d’un point de vue marché : quel est le stade de maturité du marché ? est-il inondé (si c’est le cas, il sera plus difficile de vous y faire une place) ?
✔️ La pertinence de l’idée pour votre entreprise (complémentarité de l’offre actuelle ? en lien avec votre ADN ? …)
✔️ Sa faisabilité, que ce soit pour des raisons légales ou techniques par exemple. En effet, si l’idée retenue vous amène à intégrer un nouveau marché pensez à étudier les facteurs clés de succès de celui-ci pour savoir si vous possédez toutes les connaissances et compétences requises en interne, ou si le recours à un recrutement ou à un sous-traitant sera nécessaire.

Il s’agit d’une étape non négligeable car bien réalisée elle vous permettra de vous concentrer uniquement sur des idées potentiellement intéressantes pour votre clientèle et donc de ne pas investir inutilement en temps et en argent.

2. Transformez vos idées en concepts

Lorsque vous avez identifié les idées les plus pertinentes pour votre entreprise, vous allez devoir les affiner, les détailler et les structurer pour en sortir un bénéfice client (appelé également proposition de valeur) afin de passer de l’étape de simple idée à un celle d’un concept produit.

Comment identifier et définir une bonne proposition de valeur ?

La proposition de valeur c’est la concrétisation d’une solution unique que vous apportez pour répondre à une frustration identifiée chez votre persona. En d’autres mots c’est la réponse aux questions suivantes : quel problème dois-je essayer de résoudre (= la frustration) ? en quoi mon produit va-t-il apporter quelque chose d’unique, de nouveau ? quel résultat concret va-t-il permettre d’atteindre ? Votre proposition de valeur peut porter sur différents aspects : la performance, l’identité sensorielle, la description technique / la composition du produit, le positionnement prix, la distribution.

Bien que cela puisse sembler fastidieux, prendre le temps de rédiger votre proposition de valeur vous permettra de savoir comment sortir du lot en vous différenciant de la concurrence et donc de vous aider à savoir sur quels atouts appuyer votre communication.

A ce stade, vous vous rendrez compte que pour des raisons diverses certaines idées seront difficilement transposables en concept et qu’elles vont donc s’écarter d’elles-mêmes. C’est un second écrémage qui se fera naturellement.

Si plusieurs concepts restent cependant dans la course, si vous avez besoins de parfaire un concept ou même si votre concept semble abouti, il est intéressant de le(s) confronter à la réalité du marché car ce n’est pas parce qu’un concept vous plait qu’il trouvera son public. Pensez donc à faire participer dès à présent vos clients actuels ou potentiels en les interrogeant sur leur perception et intérêt quant au produit que vous projetez de créer.  Pour récolter leurs avis tous les moyens sont bons : les études type focus group si cela vous est possible, les aborder directement dans la rue, dans votre commerce si vous tenez une boutique par exemple ou alors via des outils de questionnaire en ligne ou même avec un sondage Instagram. Consulter vos proches dans un premier temps est aussi une solution rapide et efficace pour prendre la température.

3. CRÉEZ ET SURTOUT, TESTEZ

Une fois votre concept validé, il est temps de passer à l’élaboration du prototype. En plus d’avoir pour but de matérialiser le concept, cette étape vous permet de vérifier sa faisabilité technique et financière. N’hésitez pas à élaborer plusieurs versions d’un même produit pour déterminer la meilleure version, mais surtout présentez les à vos consommateurs cibles afin de ne pas avancer sur une fausse piste et ce même si votre prototype n’est pas complètement abouti. Cela vous permettra peut-être d’identifier d’éventuels freins et objections que vous n’aviez pas identifiés précédemment et d’y remédier en amont d’une production à grande échelle et ainsi de gagner du temps et de l’argent !

Pour faire tester votre produit une étude de grande ampleur est toujours plus intéressante car elle vous assurera des retours représentatifs et complets. Néanmoins, si vos moyens financiers ne le permettent pas les options de test citées précédemment sont applicables ici aussi et vous apporteront encore une fois des informations précieuses.

4. Faites le grand saut

Enfin, une fois toutes les étapes validées il est temps de se lancer. Bien sûr on n’est jamais à l’abri d’un échec, mais en ayant pris le temps de vous poser les bonnes questions, de tester en amont vous aurez mis toutes les chances de votre côté pour réussir ce lancement de produits et gardez surtout à l’esprit que vous serez toujours à même d’y apporter des optimisations dans un second temps.